Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Romains 9, 1-5
Frères, c’est la vérité que je dis dans le Christ, je ne mens pas, ma conscience m’en rend témoignage dans l’Esprit Saint : j’ai dans le cœur une grande tristesse, une douleur incessante.
Frères, c’est la vérité que je dis dans le Christ, je ne mens pas, ma conscience m’en rend témoignage dans l’Esprit Saint : j’ai dans le cœur une grande tristesse, une douleur incessante.
Frères, si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ?
Frères, l’Esprit Saint vient au secours de notre faiblesse, car nous ne savons pas prier comme il faut.
Frères, vous n’êtes plus des étrangers ni des gens de passage, vous êtes concitoyens des saints, vous êtes membres de la famille de Dieu, car vous avez été intégrés dans la construction qui a pour fondations les Apôtres et les prophètes ; et la pierre angulaire, c’est le Christ Jésus lui-même.
Frères, nous avons une dette, mais elle n’est pas envers la chair pour devoir vivre selon la chair.
Bien-aimé, je suis déjà offert en sacrifice, le moment de mon départ est venu.
Le Seigneur est un juge qui se montre impartial envers les personnes.
Frères, pour ceux qui sont dans le Christ Jésus, il n’y a plus de condamnation.
Frères, je sais que le bien n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans l’être de chair que je suis.
Frères, j’emploie un langage humain, adapté à votre faiblesse.