Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Romains 6, 12-18
Frères, il ne faut pas que le péché règne dans votre corps mortel et vous fasse obéir à ses désirs.
Frères, il ne faut pas que le péché règne dans votre corps mortel et vous fasse obéir à ses désirs.
Frères, nous savons que par un seul homme, le péché est entré dans le monde, et que par le péché est venue la mort ; et ainsi, la mort est passée en tous les hommes, étant donné que tous ont péché.
Frères, devant la promesse de Dieu, Abraham n’hésita pas, il ne manqua pas de foi, mais il trouva sa force dans la foi et rendit gloire à Dieu, car il était pleinement convaincu que Dieu a la puissance d’accomplir ce qu’il a promis.
Bien-aimé, demeure ferme dans ce que tu as appris : de cela tu as acquis la certitude, sachant bien de qui tu l’as appris.
En ces jours-là, le peuple d’Israël marchait à travers le désert.
Bien-aimé, Démas m’a abandonné par amour de ce monde, et il est parti pour Thessalonique.
Frères, que dirons-nous d’Abraham, notre ancêtre selon la chair ?
Frères, aujourd’hui, indépendamment de la Loi, Dieu a manifesté en quoi consiste sa justice : la Loi et les prophètes en sont témoins.
Toi, l’homme qui juges, tu n’as aucune excuse, qui que tu sois : quand tu juges les autres, tu te condamnes toi-même car tu fais comme eux, toi qui juges.
Frères, je n’ai pas honte de l’Évangile, car il est puissance de Dieu pour le salut de quiconque est devenu croyant, le Juif d’abord, et le païen.