Lecture de la lettre de saint Paul apôtre aux Romains 6, 3-9
Frères, ne le savez-vous pas ?
Frères, ne le savez-vous pas ?
Moi, Jean, j’ai vu un grand trône blanc et celui qui siégeait sur ce trône.
En ce jour-là, le Seigneur de l’univers préparera pour tous les peuples un festin sur sa montagne.
Bien-aimés, voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes.
Moi, Jean, j’ai vu un ange qui montait du côté où le soleil se lève, avec le sceau qui imprime la marque du Dieu vivant ; d’une voix forte, il cria aux quatre anges qui avaient reçu le pouvoir de faire du mal à la terre et à la mer : « Ne faites pas de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, avant que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. » Et j’entendis le nombre de ceux qui étaient marqués du sceau : ils étaient cent quarante-quatre mille, de toutes les tribus des fils d’Israël.
Frères, c’est la vérité que je dis dans le Christ, je ne mens pas, ma conscience m’en rend témoignage dans l’Esprit Saint : j’ai dans le cœur une grande tristesse, une douleur incessante.
Frères, si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ?
Frères, l’Esprit Saint vient au secours de notre faiblesse, car nous ne savons pas prier comme il faut.
Frères, vous n’êtes plus des étrangers ni des gens de passage, vous êtes concitoyens des saints, vous êtes membres de la famille de Dieu, car vous avez été intégrés dans la construction qui a pour fondations les Apôtres et les prophètes ; et la pierre angulaire, c’est le Christ Jésus lui-même.
Frères, nous avons une dette, mais elle n’est pas envers la chair pour devoir vivre selon la chair.