Lecture de la deuxième lettre de saint Paul apôtre à Timothée 4, 10-17b
Bien-aimé, Démas m’a abandonné par amour de ce monde, et il est parti pour Thessalonique.
Bien-aimé, Démas m’a abandonné par amour de ce monde, et il est parti pour Thessalonique.
Frères, que dirons-nous d’Abraham, notre ancêtre selon la chair ?
Frères, aujourd’hui, indépendamment de la Loi, Dieu a manifesté en quoi consiste sa justice : la Loi et les prophètes en sont témoins.
Toi, l’homme qui juges, tu n’as aucune excuse, qui que tu sois : quand tu juges les autres, tu te condamnes toi-même car tu fais comme eux, toi qui juges.
Frères, je n’ai pas honte de l’Évangile, car il est puissance de Dieu pour le salut de quiconque est devenu croyant, le Juif d’abord, et le païen.
Paul, serviteur du Christ Jésus, appelé à être Apôtre, mis à part pour l’Évangile de Dieu, à tous les bien-aimés de Dieu qui sont à Rome.
Bien-aimé, souviens-toi de Jésus Christ, ressuscité d’entre les morts, le descendant de David : voilà mon évangile.
En ces jours-là, le général syrien Naaman, qui était lépreux, descendit jusqu’au Jourdain et s’y plongea sept fois, pour obéir à la parole d’Élisée, l’homme de Dieu ; alors sa chair redevint semblable à celle d’un petit enfant : il était purifié !
Ainsi parle le Seigneur : « Que les nations se réveillent, qu’elles montent jusqu’à la vallée de Josaphat (dont le nom signifie : le Seigneur juge), car c’est là que je vais siéger pour juger tous les peuples qui vous entourent.
Prêtres, mettez un vêtement de deuil, et pleurez !