Tout à toi, Marie. « Le charisme franciscain, vécu de façon évangélique, a porté des fruits significatifs à travers son témoignage d’adorateur ardent de l’eucharistie, de guide sage et prudent des âmes », disait Benoît XVI le jour de la canonisation d’Antonio Galvão de França (1739-1822). Né non loin d’Aparecida, au Brésil, Antonio quitte sa famille aisée et entre chez les franciscains où il reçoit le nom d’Antonio de Sant’Ana (Antoine de Sainte-Anne).
La palme du martyre.
Aimer, c’est tout donner. « Vous catholiques, vous croyez que, dans vos églises, le Christ est vivant dans le pain, eh bien, moi, je crois que ce pain est le Christ vivant, qui t’a dit de le partager avec moi ! » C’est un avocat juif de Varsovie, détenu au camp de Sachsenhausen, qui parle ainsi alors que Michal Piaszczyński (1885-1940) vient de lui partager sa maigre ration de pain. Originaire de Łomża en Pologne, Michal est ordonné prêtre en 1911. Après un doctorat en philosophie à Fribourg, il est envoyé en France comme aumônier des mineurs polonais (1915-1919).
La vie monastique. « Mon grand souci est que ce monastère persévère dans la volonté du Christ et que vous serviez le Seigneur. » Sturm (ou Sturmi) (v. 705-779) se préoccupe jusqu’au dernier instant de sa vie de la fécondité du monastère qu’il a fondé à Fulda, en Saxe.
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