Bienheureuse Élisabeth Achlin

Le 25 novembre 2025

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L’amour du Christ.

Soyons saints novembre

Bienheureuse Élisabeth Achlin

L’amour du Christ

A Bad Waldsee, dans le Wurtemberg, Élisabeth Achlin (1386-1420) choisit, dès 14 ans, d’entrer dans le tiers ordre franciscain. Elle continue à vivre dans sa famille, s’adonnant particulièrement au travail du tissage. Surnommée « la bonne Beth », elle confie son âme aux soins d’un chanoine de Saint-Augustin, Conrad Kügelin, qui a l’idée de rassembler plusieurs tertiaires dans le petit bourg de Reute. Elles mènent une vie humble et pauvre. Élisabeth y remplit l’office de cuisinière, mais devient, du fait de sa vie mystique, de plus en plus recluse. Elle est fascinée par la passion du Christ, qui la comble dans des moments d’extase. Elle reçoit même le don des stigmates. Aussitôt après sa mort, Élisabeth Achlin jouit d’une formidable popularité jusqu’en Suisse, en Autriche et en Bavière. On doit le récit de sa vie au père Kügelin.

Chargée des nourritures terrestres, Élisabeth a surtout pris conscience dans ses visions que la chair du Christ est la seule nourriture et son sang, la vraie boisson.

Temps de silence

À l’école de la bienheureuse Élisabeth Achlin, ayons à cœur de faire grandir en nous le désir de vivre du sacrement de l’eucharistie, source et sommet de la vie chrétienne.

Ce mois-ci, à l’écoute des bienheureux
Luigi et Maria Beltrame Quattrocchi

Comme cohéritiers du Royaume, nous ne pouvons nous soustraire à l’injonction de compléter en nous ce qui manque à la Passion du Christ. Ce qui manque à l’infini, c’est la participation du fini (Maria).

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Le Christ à la mer de Galilée, Circle of Jacopo Tintoretto (Probably Lambert Sustris), Anonymous Artist - Venetian, 1518 or 1519 - 1594. © National Gallery of Art, New-York