Lecture de la deuxième lettre de saint Paul apôtre à Timothée 4, 6-8.16-18
Bien-aimé, je suis déjà offert en sacrifice, le moment de mon départ est venu.
Bien-aimé, je suis déjà offert en sacrifice, le moment de mon départ est venu.
Le Seigneur est un juge qui se montre impartial envers les personnes.
Frères, pour ceux qui sont dans le Christ Jésus, il n’y a plus de condamnation.
Frères, je sais que le bien n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans l’être de chair que je suis.
Frères, j’emploie un langage humain, adapté à votre faiblesse.
Frères, il ne faut pas que le péché règne dans votre corps mortel et vous fasse obéir à ses désirs.
Frères, nous savons que par un seul homme, le péché est entré dans le monde, et que par le péché est venue la mort ; et ainsi, la mort est passée en tous les hommes, étant donné que tous ont péché.
Frères, devant la promesse de Dieu, Abraham n’hésita pas, il ne manqua pas de foi, mais il trouva sa force dans la foi et rendit gloire à Dieu, car il était pleinement convaincu que Dieu a la puissance d’accomplir ce qu’il a promis.
Bien-aimé, demeure ferme dans ce que tu as appris : de cela tu as acquis la certitude, sachant bien de qui tu l’as appris.
En ces jours-là, le peuple d’Israël marchait à travers le désert.