Persévérance dans la foi. « Il avait sa main droite plus forte que le feu », disait saint Basile le Grand, et saint Jean Chrysostome ajoutait : « La scène était majestueuse […], un homme qui était lui-même l’autel du sacrifice, et le sacrifice, et le prêtre. » Tous ces éloges des Pères de l’Église honorent Barlaam, un simple paysan qui, vers 303, prouve son amour indéfectible pour le Christ.
Pureté du cœur. « Karolina abandonnée dans le bois de Ruda est en lieu sûr, elle est entre les mains de Dieu qui est le Dieu de la vie. […] Elle a rendu témoignage au Christ : un témoignage de vie en traversant la mort » (saint Jean-Paul II). Connue pour son engagement de catéchiste dans sa paroisse, Karolina Kózka (1898-1914) trouve la mort alors qu’elle refuse les sollicitations d’un des soldats russes qui viennent d’envahir son village, en 1914.